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Le blog de Ritournelle

Quotidien vénitien

Ritournelle
Quotidien vénitien
Quotidien vénitien

En cette période troublée, il y avait encore un peu d'animation il y a quelque temps, celle des vénitiens qui se sont réappropriés leur ville ... Livraisons Balades sur le grand canal Dernière fabrique de gondoles Petit embouteillage On filme... Réparation des pilotis près de St Marc Invitation pour les artistes Comme à Montmartre...

Le lambeau - Philippe Lançon

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Le lambeau - Philippe Lançon
Le lambeau - Philippe Lançon

Trois ans après l’attentat qui a coûté la vie à ses amis de Charlie Hebdo et sauvé la sienne de justesse, Philippe Lançon revient sur cet effroyable fait divers qui a ému tous les français et étrangers attachés à ce bien précieux que permet la démocratie : la liberté d’expression, Ce livre très dense est le témoignage historique « d’un blessé de guerre dans un pays en paix » ; c’est le récit d’un moment terrifiant succédant à l’atmosphère joviale et insouciante de la conférence de rédaction des journalistes. En un bref instant, tout bascule, les corps se disloquent sous l’effet des balles des «...

L'art vénitien d'hier et d'aujourd'hui

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L'art vénitien d'hier et d'aujourd'hui
L'art vénitien d'hier et d'aujourd'hui

Le Tintoret : présentation de la Vierge au temple (1553-1556) Sebastiano Ricci : Anges en gloire (1709) Cima da Conegliano : Nativité (1509) Tiepolo : plafond rococo de l'église des Gesuati (18ème) Sculpture de la façade de l'église della Madonna dell'Orto (gothique) Sculpture de la cour de l'église San Giovanni evangelista (13ème) détail de clôture de propriété dans le Dorsoduro Palais Ariani Cicogna style architectural traditionnel dans le Dorsoduro Teatro Italia - Canareggio Street art Peggy Guggenheim et ses chiens

Citation

Ritournelle

"Tout le malheur des hommes vient de ce qu'ils ne savent pas rester au repos dans une chambre." Pascal

Quand Venise se mire dans l'eau

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Quand Venise se mire dans l'eau
Quand Venise se mire dans l'eau

...Tes pieds exquis trempés aux vagues peu profondes, Telle qu'une princesse en habits d'Orient, Tu te penches, et l'eau reflète, en souriant Le rythme de ton corps et tes parures vaines. Des canaux délicats et minces sont tes veines; Ainsi qu'aux êtres fins le silence t'est cher. Les marbres éclatants et roses sont ta chair, Si pure qu'on dirait que les brises sonores Y font courir le sang des vivantes aurores. Tes yeux sont le rayon divin du ciel léger, Et ton sourire fait le jour, sans y songer. Ainsi mon rêve épris n'a pas pu se défendre De t'aimer d'un amour mélancolique et tendre, Comme on...

La pitié dangereuse - Sefan Zweig

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La pitié dangereuse - Sefan Zweig
La pitié dangereuse - Sefan Zweig

La pitié dangereuse est l’unique roman écrit par Stefan Zweig en 1913, avant la grande guerre. A cette époque, l’écrivain correspond avec Sigmunf Freud, admire ce que le médecin réussit à percer de l’âme humaine. Cette faculté se retrouve dans cette histoire qui analyse finement le comportement des personnages. Anton Hofmiller est un jeune officier issu d’une famille modeste, en garnison dans une petite ville autrichienne ; il est invité au bal organisé par le comte de Kekesfalva dans sa riche demeure. Tout de suite attiré par Ilona, une jeune fille élégante et vive, la nièce du comte, déjà repérée...

L'île de la Giudecca

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L'île de la Giudecca
L'île de la Giudecca

Ce havre de paix, anciennement appelé "spina lunga", (longue arête) en raison de sa forme, était il y a longtemps rattaché au quartier du Dorsoduro. Composé de 8 petits îlots séparés par des canaux, son nom est vraisemblablement tiré du mot zudega, signifiant jugés , en référence aux aristocrates dissidents , qui y étaient exilés au temps de la République de Venise , au 9ème siècle. Depuis les quais, on a la plus belle vue sur la place St Marc et le Dorsoduro. C'est un quartier populaire, prisé par les étudiants, mais qui a attiré de tout temps les célébrités étrangères : le paysagiste anglais...

Un certain savoir-vivre

Ritournelle

"Le jour où je vais disparaître, j'aurai été poli avec la vie car je l'aurai aimée et beaucoup respectée. Je n'ai jamais considéré comme chose négligeable l'odeur des lilas, le bruit du vent dans les feuilles, le bruit du ressac sur le sable lorsque la mer est calme, le clapotis. Tous ces moments que nous donne la nature, je les ai aimés, chéris, choyés. Je suis poli, voilà. Ils font partie de mes promenades et de mes étonnements heureux sans cesse renouvelés. Le passé, c'est bien, mais l'exaltation du présent, c'est une façon de se tenir, un devoir. Dans notre civilisation, on maltraite le présent,...

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